Bonjour à tous
Pierre Grenon
Le 13 juin 1673, un homme à l'air déluré se présente à Québec, chez le notaire Duquet. C'était Pierre
Grenon. Simon Duverger, habitant de l'île d'Orléans, l'accompagnait; il avait déjà consenti à lui
vendre sa ferme de 3 arpents de front, située du côté nord de l'île à la limite est de la paroisse
de Saint-Pierre. Le contrat de vente stipule que le vendeur a déjà reçu 50 livres et qu'il en recevra
autant à la Saint-Michel prochaine. Simon signa avec parafe. Pierre déclara ne pouvoir le faire.
Depuis combien d'années Pierre cultivait-il ce lot, entre Claude Bouchard dit Dorval et Jean Rabouin ?
Aucune réponse satisfaisante. Pendant combien de temps le fera t'il encore fructifier ?
À Dombourg
Jean Bourdon, le 15 décembre 1653, avait obtenu 2 3/4 lieues de front de terre sur le fleuve
Saint-Laurent, entre Cap-Rouge et la Pointe-aux-Écureuils. Son fils Jean-François en fut l'héritier.
Ainsi, à l'automne 1675, arrive Pierre Grenon dans l'histoire de la ferme du jeune seigneur. Le 13
octobre, il se présente devant le notaire Rageot, avec le titre de meunier, et accepte de la faire
fructifier à son profit, pendant 5 ans.
Il veillera à l'entretien des bâtiments, en particulier du
moulin, paiera ses cens et rentes comme tout le monde et versera à son maître 600 livres en 5 versements.
Cependant, avec la permission du seigneur, il pourra déduire 200 livres pour les réparations nécessaires
qu'il fera. Bourdon fournira 2 boeufs, 2 vaches, 1 charrue. Le bail deviendrait effectif à la Toussaint.
Deux jours plus tard, Pierre revint chez le même notaire. Alexandre Turpin, maître tailleur d'habits,
époux de Catherine Delor, veut passer l'hiver, dans la maison de Dombourg, Pointe-aux-Trembles,
aujourd'hui Neuville. Les conditions de l'accord, un peu compliquées, sont énumérées avec quelques
détails amusants. Pierre, s'il veut goûter au vin de Turpin, le paiera, mais 5 sols meilleur marché
que le prix régulier. Cet hiver-là, le tailleur d'habits voulait-il vendre du bon vin à la population
des environs? Confectionner des habits?
Durant la saison hibernale, Pierre, " meunier de la terre et seigneurie de Dombourg ", eut-il des
frémilles dans sa chemise? Le 18 mars 1676, à Québec, il annule un marché qu'il avait fait avec Pierre
Lafaye, également meunier. Pourquoi les deux hommes prennent-ils la peine de payer un notaire pour cet
accord, dont la substance nous est cachée? Était-ce avouer un échec cuisant? Un simple changement
d'avis?
Pierre parcourait-il le chemin de Neuville à Québec, en raquettes ou avec des bottes de sept lieues? Le
12 avril, " l'habitant demeurant à la pointe aux trembles " frappa à la porte du notaire Rageot. Il était
accompagné de Pierre Petit dit Milhomme, propriétaire de la partie supérieure de la terre de la Fabrique
de Sainte-Anne du Petit-Cap depuis le 16 mars 1675. Milhomme voulait acheter la terre que Grenon possédait
encore à l'île.
Elle avait 3 arpents de vieille terre, 2 de neuve et " une méchante cabane mise dessus ".
La première terre possédée par l'ancêtre Grenon passe ainsi entre les mains de Petit, qui donnera 150
livres, en deux versements, au cours de la même année.
Puis, le 9 juin suivant, Pierre " fermier de la terre seigneuriale et du moulin de Dombourg ", se
décharge d'une partie de ses responsabilités. Jean Thibierge, meunier, s'occupera, pendant 3 ans, du
bon fonctionnement du moulin.
Il pourra même utiliser un quart d'arpent de terre pour se faire un
jardin. Pierre Grenon en profita pour exiger 80 minots de blé payables par tranches, " de trois mois
en trois mois ". Thibierge signe le bail. Mais, le 12 octobre de la même année, il cède ses droits et
ses obligations à un autre meunier, Paul Cartier, ancien fermier de Charles Aubert.
Lavoie-Grenon
Depuis l'été 1666, une famille Lavoie vivait dans la région de Québec. Pierre, veuf de Jacquette Grinon,
père de 4 enfants connus, travaillait comme fermier chez François Pelletier dit Antaya, et demeurait à
Cap-Rouge. Le 25 août 1670, il avait épousé en secondes noces une fille du roi, Isabelle Loppé ou Aubert,
de qui il aura 8 rejetons.
Parmi les orphelins Lavoie venus de France, Marie, née vers 1657 à Saint-Étienne d'Aytré, arrondissement
de La Rochelle, sut attirer l'attention de Pierre Grenon. Ils se rencontrèrent et s'aimèrent. On mit
alors en branle les préparatifs des noces. Le contrat de mariage n'a pas été trouvé. Pierre discuta
avec les parents Lavoie et sa future, Marie.
C'était au début de janvier, en l'année 1676. Après les
fiançailles et la publication de trois bans faite les 6,12 et 26 janvier, l'on convint de faire bénir
le mariage lors du passage du missionnaire. Le 6 février, un jeudi, l'abbé Cyprien Dufort se présenta
chez les Lavoie, à la Rivière-aux-Roches, seigneurie de Maur, aujourd'hui Saint-Augustin.
Les amis se réunirent pour la cérémonie. Le témoin Henri Chatel dit Francoeur, habitant de Neuville,
se rangea du côté de Pierre Grenon, Pierre Meunier, ancien domestique des Jésuites à Sillery, boulanger,
et François Gamier appuyèrent la mariée. L'abbé Dufort remit l'acte écrit sur une feuille volante au
curé de Notre-Dame de Québec, Henri de Bernières. Celui-ci transcrivit dans le registre.
Ainsi débuta le foyer Lavoie-Grenon, au coeur de l'hiver 1676.
L'homme des changements
Pierre Grenon se montra toujours actif et favorable à des changements constructifs. Un acte de vente
nous apprend qu'il possédait une terre de 2 arpents de front et de 40 de profondeur, à Dombourg,
depuis le 20 octobre 1675. Il l'avait obtenue verbalement de Jean Prou. Le 19 août 1676, un acte
d'achat notarié avait été signé. C'est cette propriété avec " cabane dessus ", située entre Pierre
Richard et Pierre Jallet, qu'il vendait, le 20 mars 1678, à Jacques Brin dit Lapensée. Argent reçu
par le vendeur Grenon: 121 1ivres tournois.
Le même jour, Jean Toupin "Sr dusault de la pointe aux escureuils ", concédait à Grenon une terre
égale en superficie à celle que le concessionnaire venait de vendre à Lapensée. Le seigneur énuméra
ses faveurs et ses exigences habituelles, entre autres celle " d'y tenir feu et lieu ". Les voisins
nommés sont Nicolas Marcot et Jean Mézeré. Le preneur Pierre Grenon accepte cette concession devant
les témoins huissiers, Jean Levasseur et Pierre Biron.
En effet, au recensement de 1681, les recenseurs rapportent que les Grenon vivaient à la
Pointe-aux-Écureuils, où ils possédaient 1 fusil, 2 vaches, 6 arpents en culture.
Deux ans plus tard, soit le 24 mars 1683, Pierre Grenon décida d'échanger sa ferme des Écureuils
avec celle de Pierre Jallet " habitant demeurant en la seigneurie de Neufvile ". Les deux lots
échangés avaient même mesures: 2 arpents de front et 40 de profondeur. La terre Jallet était située à
Neuville entre celles de Jacques Brin et de René Meunier.
Le texte notarié ajoute qu'il y avait un
hangar sur cette habitation de Neuville. Le bien de l'ancêtre Grenon, habitant de la
Pointe-aux-Écureuils, possédait un hangar et une " cabane ". Avant de quitter, Pierre Grenon devait
bûcher les arbres encore debout sur une superficie de 4 arpents carrés, "dessoucher " et nettoyer le
terrain avant les semences.
Après cette période des changements, Pierre Grenon devint un habitant stable, tout appliqué à la
culture de sa ferme. Le 27 juillet 1695, un acte notarié rapporte que Pierre vendit une terre à Louis
Barrat. Et, le 16 août 1708, Pierre Grenon est bel et bien en visite à Montréal, où il engage son fils
Pierre au service de Jacques-Alexis Fleury, sieur Deschambault, lieutenant civil et criminel de l'île.
Surprise! le fils Pierre est présenté comme un garçon de 14 ans alors qu'il en avait 19, étant né le
25 mars 1689. Pendant 3 ans et seulement pour sa nourriture, le jeune homme restera au service du
grand bonhomme.
Famille de douze
En l'espace de 19 ans, de 1677 à 1696, le couple Grenon fit jaillir la vie douze fois. Voici les noms
de ces privilégiés: Pierre, un mort-né, Marie, Marguerite, Marie-Agnès, Anne, Pierre, François et
François, Marie-Charlotte, Marie-Angélique et Joseph, tous nés sur le territoire de Neuville, tous
aimés, tous beaux!
Le 14 février 1677, naissait Pierre. L'abbé Dufort le baptisa le 25 février, devant Alexandre Turpin
et Mathurine Bélanger, ses parrain et marraine. L'aîné est souvent l'enfant choyé. Pierre, héritier
du prénom de son père, vivait encore en 1681. Il partit sans doute à cet âge où la candeur et
l'ingénuité provoquent chez les parents des ravissements. Le 20 avril 1678, naissait en catastrophe
un deuxième enfant Grenon. Jacques Cartier l'ondoya sur-le-champ; puis, le même jour, le petit corps
fut porté en terre de Neuville. À Québec, le curé de la cathédrale fut mis au courant de ce deuil,
parce qu'il rédigea un acte de sépulture.
Le dernier Grenon de la deuxième génération à posséder son acte de baptême à Québec fut Marie, en 1679.
À l'âge de 20 ans, elle épousa André Bergeron, fils d'André et de Marguerite Demers. Les fiancés reçurent
la bénédiction nuptiale le 14 avril 1699, à Neuville. Marie, mère de cinq fils et d'une fille, dut
quitter les siens dès le 24 avril 1712, à Saint-Antoine-de-Tilly. Marie-Charlotte Danet prit la relève
de ce foyer brisé.
L'exemple entraîne. La soeur de Marie, Marguerite, baptisée le 29 octobre 1681, filleule de Marie Gloria,
femme du seigneur Toupin, se maria elle aussi avec un Bergeron, Jean, le 19 novembre 1699, et donna la
vie à cinq poupons. Jeune maman, elle dut faire face à la mort le 19 mai 1709, à Tilly. Marie-Madeleine
Ferland la remplaça dans sa maisonnée. Jamais deux sans trois.
Marie-Agnès Grenon, née le 21 janvier
1684, épousa un troisième frère Bergeron, Jacques, le 2 avril 1704, et appela à l'existence huit
Grenon-Bergeron. Comme ses soeurs, Marie-Agnès ne réussit pas à faire blanchir ses cheveux. Elle
décédait le 12 mai 1719, à Saint-Nicolas, où elle fut inhumée deux, jours plus tard. Une autre,
généreuse, prit sa place, Madeleine Dubois.
Anne, portée sur les fonts baptismaux par Pierre Richard et Marguerite Juin, le 14 octobre 1686,
attache son coeur, le 30 août 1707, à Louis Rognon, fils de Michel et de Marguerite Lemain. Le couple
déménagea à Saint-Nicolas, où il eut son sixième enfant. Après la mort de son premier mari, Anne
convola en secondes noces avec Jacques Baron, le 17 novembre 1721. Elle compléta sa famille par l'ajout
de cinq sujets Grenon-Baron.
Anne fut inhumée à Tilly, le 5 mai 1758. À l'arrivée de leur septième
enfant le 23 mars 1689, les Grenon décidèrent de l'appeler Pierre, en l'honneur du père et en souvenir
du défunt frère du même prénom. Le 30 janvier 1713, Pierre devint l'époux de Geneviève Liénard dit
Boisjoli, fille d'Ignace et de Marie-Anne Leduc. Il eut une famille de six enfants dont Toussaint,
qui épousera Marie-Charlotte Campeau, le 7 janvier 1772, à Détroit.
Le huitième fils Grenon fut appelé François, le 29 octobre 1691. Il mourut à l'aurore de ses 20 ans.
Quel deuil! Le 28 mars 1694, deux jumeaux Grenon, François et Marie-Charlotte, vinrent enrichir le
foyer. Ils grandirent comme des plants vigoureux. François, jumeau, devint l'époux de Geneviève Demers,
puis de Louise Croteau. La troisième génération Grenon lui doit 14 membres. Quant à Marie-Charlotte,
filleule de Marie-Charlotte Lefebvre, elle s'unit par les liens du mariage à Jacques Richard, procréa
14 enfants. Elle fut la dernière à témoigner ici-bas de la deuxième génération, puisqu'elle fut inhumée
le 15 décembre 1775, à Neuville.
Selon Cyprien Tanguay, Marie-Angélique Grenon, née le 22 novembre 1696, demeura célibataire. C'est à
Neuville qu'elle fut enterrée, le 31 octobre 1750. Le cadet Joseph, né et baptisé à la Saint-Joseph 1699,
transmit le nom Grenon à huit enfants, par son mariage avec Marie-Françoise Tinon dit Desroches, en 1721.
Ses secondes noces avec Marie Hébert furent sans postérité. C'est à Neuville qu'il décéda le 12 mars 1774.
C'est ainsi que la deuxième génération, généreuse, avait transmis le flambeau de la vie à la troisième,
nombreuse. On peut déplorer cependant le départ inexpliqué de François, 20 ans. Quant à Marguerite,
femme de Jean Bergeron, elle s'était noyée accidentellement sur le Saint-Laurent, le 19 mai 1709, alors
qu'en compagnie de Catherine Mesny elle allait à la messe à Saint-Nicolas, le jour de la Pentecôte.
Ses funérailles n'eurent lieu que le 2 juin, preuve que son corps ne fut pas retrouvé immédiatement.
Le déclin
La vie de Pierre Grenon et de Marie Lavoie s'écoula dans la tranquillité laborieuse, sans difficulté
particulière. Une seule fois, Pierre Grenon eut affaire à la justice. À la Prévôté de Québec, Catherine
Gernier, veuve Dupin, avait déposé une plainte contre l'ancêtre Grenon. Je n'ai pas lu le contenu
du grief, mais je sais, par un texte du Conseil Souverain daté du 5 septembre 1678, que la plaignante
fut déboutée et qu'elle interjeta appel. Le calme revint et tout tomba dans l'oubli.
Pierre Grenon quitta les siens au printemps de 1712. L'acte de décès signé dans le registre par le
curé Basset lui donne 66 ans d'âge. Devant sa famille endeuillée, Pierre fut inhumé à Neuville, le
10 avril, un dimanche.
Dès le 20 juin 1712, Marie Lavoie fait une requête officielle, afin que soit convoquée une assemblée d
e parents et d'amis chargée d'élire des tuteurs et de procéder à l'inventaire et au partage des biens
de la communauté entre elle et son époux. Je n'ai pas trouvé cet inventaire, qui doit exister quelque
part dans un minutier. Le 2 août 1713, Marie Lavoie vend ses droits successoraux à son frère consanguin,
Romain Lavoie.
L'aïeule des Grenon vécut encore de nombreuses années, alors que plusieurs membres de sa famille
avaient déjà quitté les rivages de Neuville et des environs. On dépose le corps de Marie Lavoie
dans la terre bénite de sa paroisse, lundi le 7 avril 1727. Elle avait 70 ans de mérite et une
descendance canadienne qui ne s'éteindrait jamais.
Fort comme un Grenon
Avant l'arrivée du légendaire roi de la force, le Samson canadien Victor Delamarre, les gens de
Charlevoix et du Saguenay disaient depuis près de deux siècles: " fort comme un Grenon ". D'où
venait cette expression?
Jean-Baptiste Grenon, fils de Joseph et de Marie-Françoise Tinon, petit-fils de l'ancêtre Pierre,
avait vu le jour le 14 mai 1724, à Neuville. Jeune homme, Jean-Baptiste s'en vint avec son père
travailler à Baie Saint-Paul, où il épousa Dorothée Fortin, le 10 janvier 1748. À l'été de 1759,
les Anglais envahissaient le pays. Au mois d'août, ils se trouvaient à Baie Saint-Paul et y firent
de grands ravages.
Un nommé Tremblay, des Éboulements, et Jean-Baptiste Grenon devinrent leurs
prisonniers. Les soldats commencèrent par maltraiter Tremblay qui, installé sur une planchette
du haut du mat, glissa à l'eau, au milieu des rires sarcastiques de la soldatesque. Jean-Baptiste
Grenon, ligoté ne riait pas. Voyant que les farceurs allaient recommencer, la rage s'empara de lui.
Il rompit ses liens et, en un clin d'oeil, neutralisa cinq ou six soldats.
Le capitaine, ébahi, invite Grenon à venir dans sa cabine pour discuter biceps et force. Devant la
menace des pistolets, Grenon dut ravaler sa colère pendant quelque temps. Lorsqu'il recouvra sa
liberté, son nom passait à la légende. D'où le diction populaire: " fort comme un Grenon ".
BIBLIOGRAPHIE
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9 juin 1676; 20 mars 1678; 8 avril 1681; 18 mars 1682; 24 mars 1683; 26 juillet 1683.
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Bulletin des Recherches Historiques, vol. 8, p. 324. En 1721. Jean Grenon et deux autres marguilliers
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